Rencontres nationales des bibliothécaires musicaux

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  • 7 avril 2006
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Apprivoiser le futur…

Rencontres nationales des bibliothécaires musicaux à Nantes, vendredi 7 et samedi 8 avril 2006

Programme mis à jour le 4 avril 2004

Attention, les journées nationales se déroulent dans deux lieux différents !

Le vendredi 7 avril, aux Salons Mauduit

10 rue Arsène Leloup

Tél : 02 51 84 96 60
La même adresse que pour la participation à la journée d’étude du 6 avril

Le samedi 8 avril, à la Médiathèque Jacques Demy

24, quai de la Fosse.

Tél. 02 40 41 95 95

Introduction

Dans un contexte technologique et juridique en pleine effervescence nous tenterons de cerner la place particulière que les bibliothèques pourraient occuper en matière d’accès à l’information musicale. Pour cela nous interpellerons les différents acteurs de la filière musicale.

Cette façon de se définir en creux à travers le point de vue des musiciens, des producteurs, des éditeurs ou des disquaires, devrait précisément nous arracher à un sentiment de vacuité (par ex. « Quel est l’avenir du prêt de phonogrammes face à la monté irrésistible du
téléchargement ? ») et nous permettre de nous affirmer dans toute notre singularité d’espace public dédié à la musique.

Par ailleurs la ville de Nantes et sa région nous offrent un point d’ancrage idéal afin de nous interroger sur notre rôle dans la transmission et la connaissance des musiques actuelles, mais aussi dans la valorisation et la sauvegarde du patrimoine sonore.

Programme

Vendredi 7 avril 2006

- 9h15-9h45 : Accueil des participants

- 9h45-10h00 : Ouverture officielle par un élu de Nantes

- 10h00-10h30 : Introduction par Arsène Ott, Président de l’ACIM – Coordinateur musique pour le réseau Bibliothèques municipales de Strasbourg (BMS)

Synthèse de la journée d’étude « Image et son en bibliothèques : bilan et perspectives à l’heure du virtuel » du 6 avril 2006, Gilles Pierret, Directeur de la Médiathèque musicale de Paris, Membre du CA de l’ACIM.

- 10h30-11h30 : L’avenir de la médiation musicale en bibliothèque ?

Modérateur de la table-ronde : Arsène Ott / Président de l’ACIM – Bibliothèque municipale de Strasbourg

Les acteurs de la filière musicale auront-ils encore besoin des bibliothèques pour mener un travail de médiation autour des musiques qu’ils défendent ? Les outils développés par l’intermédiaire des nouvelles technologies viendront-ils remplacer ce rôle dévolu jusqu’alors aux bibliothèques et aux acteurs de terrain ?

Participants à la table ronde :

>Label « Saravah », Pierre et Benjamin Barouh (créateur et représentant du label), Nantes [1]

>Association « Les allumés du jazz]]] », Valérie Crinière (déléguée générale), Le Mans [2]

>Musicophages, Nicolas Bordes (coordinateur de la Médiathèque Associative), Toulouse, 6 rue de la Bourse 31 000 Toulouse [3]

- 11h30-12h30 : Comprendre les musiques actuelles ? Le rôle de veille documentaire dévolu aux bibliothèques autour des productions régionales ?

Modérateur de la table ronde : René Vander-Poorte, Médiathèque Durance-Cavaillon, membre du CA de l’ACIM

Participants :

>IRMA, Jean-Noël Bigotti (Responsable du Centre de Ressources et de Documentation), Paris [4]

>Trempôle : pôle régional des musiques actuelles, Denis Tallédec (coordinateur), Nantes, 51 Bd de l’Egalité 44100 Nantes [5]

>Pôle régional des musiques actuelles de Haute Normandie, Frank Rolland (directeur), Rouen [6]

>Rennes musique : le point de vue du disquaire, Christophe Brault, Rennes [7]

>Emmanuel Parent : association « Mélanie Seteun » et de la Revue collectif d’universitaires « Copyright volume« , Nantes [8]]

12h30 – 14h30 : Pause repas (Repas en commun, Option payante 13 €)

Après-midi

- 14h30-17h 30 Regard porté sur l’histoire récente des musiques actuelles

Conférence musicale, Christophe Brault, auteur du « Guide des albums de 1964 à 2004, une discographie sélective d’albums pop, rock, électro, rap, etc. ». Editions MSAI, 2005. ISBN 2-9525573-0-6. Biographie de l’auteur (cf. ci-dessus) [9]

- 17h30 à 18h00 : Visite de la Médiathèque Jacques Demy, Marie-Vianneytte Moulin, responsable du secteur Musique Cinéma

- 18h30 à 19h00 : Visite du « Lieu unique », Yves Jourdan, administrateur adjoint (possibilité de repas sur place)

Soirée concert dans le cadre du festival « IDEAL » (Option payante : tarif à 50 % pour les participants aux Rencontres soit 12 € la soirée du vendredi 7 avril)

Samedi 8 avril

- 9h30-10h45 : La numérisation appliquée aux collections musicales ? De la valorisation des collections patrimoniales (collectage, fonds historiques) à la consultation permanente d’une collection de prêt. Enjeux, avancées et limites.

Modérateur de la table-ronde : Pascal Cordereix, Conservateur au Département de l’Audio-visuel de la BNF, membre du CA de l’ACIM

Participants

>AREXCPO : gestion du patrimoine, Jean-Pierre Bertrand, Le Perrier

Jean-Pierre Bertrand est l’auteur de plusieurs ouvrages concernant l’histoire, l’art, les traditions vendéennes.
EthnoDoc-Arexcpo : Centre de documentation du Patrimoine culture immatériel [10]]

>DASTUM 44 : recueillir, rassembler, Hugo Arribart, Nantes. DASTUM Bretagne, Jean-Luc Ramel, Rennes

Du breton dastum = recueillir, rassembler Association ayant pour objectif le recueil et la sauvegarde des chants et mélodies de Bretagne Dastum 44 / 69, rue de Bel Air – 44000 Nantes
« Fondée en 1992, Dastum 44, Centre des traditions orales bretonnes en Loire-Atlantique, participe très activement à la sauvegarde, la promotion et la diffusion des traditions orales et instrumentales du pays nantais, de la presqu’île guérandaise, du pays de Retz et du pays de la Mée. Médiathèque de consultation des archives locales pourvue d’un permanent, Dastum 44 mène aussi un action de formation et de diffusion. Ateliers de chant réguliers, randonnées chantées, stages de chant, fest-noz, veillées thématiques, joutes chantées et autres activités sont organisés tout au long de l’année. Ils s’ajoutent aux travaux de recherche, d’éditions sonores, et à des initiations au collectage qui ont permis de relancer cette pratique de part et d’autre de la Loire.  »
« Un lieu de mémoire et de transmission [11]]

>Projet de numérisation des collections de 78 tours, Gilles Pierret, Directeur de la médiathèque musicale de Paris, membre du CA de l’ACIM

11h00-12h30 : La coopération des professionnels de l’information musicale en question : mobilisations des professionnels, des collectivités, subventions… etc.

La vie de l’ACIM et du collège des associations coopérantes :

- AFAS (Association Française des détenteurs de documents Audio-visuels et Sonores) représentée par Pascal Cordereix, Conservateur au Département de l’Audio-visuel de la BNF / Informations sur le site : http://afas.imageson.org/

- AIBM Groupe français (Association Internationale des Bibliothèques, archives et centres de documentation Musicaux) représentée par sa présidente Laurence Languin / Informations sur le site : http://www.aibm-france.org/

- VDL (Vidéothécaires et Discothécaires de la région Lyonnaise) / Thierry Bokhobza– Association des bibliothécaires musicaux de l’Est

Brèves sur l’évolution des chantiers en cours : PCDM, portail Internet (outil de coopération, veille documentaire autour des productions régionales…), bulletin 2006, Congrès ABF, Rencontres 2007… / Informations sur le site : www.acim.asso.fr

Assemblée générale

- Bilan des actions 2005 (rapport moral / Arsène Ott, bilan comptable / Pascal Wagner, révision des statuts / Nicolas Blondeau

- Intégration des nouveaux membres coopérateurs au sein du CA de l’ACIM : Francine Lureau y représentera la BPI – Section documents sonores, Jean-Noël Bigotti y représentera l’IRMA, Sylviane Lange absente excusée pour l’Association Opéra (Arles) au CA de l’ACIM.

12h30 : Verre de l’amitié et bon vent d’ouest à toutes et à tous


[1] Le label fête ses 40 ans en 2006. « Le disque s’apparente de plus en plus à un livre, alors que son contenu connaît l’évolution de la dématérialisation. Tant que le format CD existera et résultera d’un travail d’édition et de conception soignés, il aura sa place dans les bibliothèques. » Benjamin Barouh
« L’effet Pollen : J’ai passé l’essentiel de ma vie à vivre et provoquer des rencontres dont les traces concrètes sont inscrites dans le label ‘Saravah’ et dans quelques films ou documents.
Les rêves, les utopies, les émotions fugaces ne sont pas évaporées car je pense qu’il n’est rien d’inutile : le vent souffle sur chaque mot, chaque geste sans que l’on sache jamais où il les dépose… Les idées se propagent comme le pollen et fécondent si elles portent en elles le germe de vie. » Pierre Barouh.

Quelques artistes du label : Pierre Akendengue, George Arvanitas, Etienne Brunet, Jean-Roger Caussimon, Brigitte Fontaine, Jacques Higelin, Steve Lacy, Daniel Mille, Fred Poulet, Barney Wilen… etc.

[2] 10è anniversaire en 2006
« Une association regroupant des labels indépendants
La vie, l’organisation, la diffusion, le public des musiques de jazz ont connu des mutations profondes depuis les 20 dernières années. Leurs repères ont considérablement évolué redessinant une carte pas toujours facile à appréhender pour les acteurs de ces musiques.
Il est donc crucial d’envisager toutes les formes de diffusion des plus grandes aux plus petites. »

>Label « La nuit transfigurée », Thierry Mathias (créateur du label), Tarbes.
[[Label d’écriture et d’improvisation. « il est provisoirement refusé à mes oeuvres de gagner la faveur des masses ; elles n’en atteindront que plus facilement les individus. » Arnold Schönberg
Pourquoi ce nom ?

1999, un siècle que la Nuit Transfigurée a été composée par arnold Schoenberg.
Elle représente le lien entre l’époque post-romantique du compositeur et sa période dodécaphonique, l’héritage et l’avenir, la continuité vers la modernité.

Le label a le désir de présenter dans son catalogue toutes les musiques (passées et contemporaines) dans un seul souci d’authenticité et d’honnêteté, allant de la musique classique au contemporain écrit, en passant par la musique improvisée. C’est peut-être aussi l’occasion de « décloisonner » les différents styles musicaux, pour ne défendre plus que LA Musique.

Le visuel
L’objet a l’aspect d’un livre. Il comporte une couverture cartonnée (300g/m2), avec un minimum de 48 pages (110g/m2). A l’intérieur de ce livre, nous trouverons un texte littéraire, des photos, des gravures ou dessins d’artistes-peintres réalisés spécialement pour le projet ainsi qu’une présentation des musiciens, des oeuvres enregistrées, des auteurs, par le biais d’entretiens ou textes. Le disque est glissé en fin de livre. Effectivement rien de révolutionnaire, mais un concept utile – et à notre avis indispensable –
pour que le disque ait aussi une vie à côté de la platine du salon

[3] « Les musicophages est donc une médiathèque associative qui depuis 1993, s’est consacrée à diffuser la culture des musiques actuelles ; nous avons constitué un fond de 18000 disques (cd), une fanzinothèque (dépôt vente et archivage), des expositions en lien avec le monde du fanzina, un ECM et une activité de « rencontres musicales » que ce soit sous forme de show cases que de « conférences » avec des écrivains ou journalistes spécialisés (soirée autour de Zappa, Nirvana Pixies, lester Bangs…). Depuis deux ans nous réalisons un festival, les Rencontres du Rock alliant cinéma, littérature, expositions et concerts. Nous avons aussi développé un module de formation (cnfpt) en direction des bibliothécaires « le bibliothécaire face au web ». Donc un projet original qui, au fil des années, trouve sa place dans l’univers des professionnels de l’Information musicale. »

[4] À propos de l’IRMA : « Le Centre d’information et de ressources pour les musiques actuelles (IRMA) est une association loi 1901 (J.O du 16 avril 1986) conventionnée par le ministère de la Culture et de la Communication. Depuis 1994, il regroupe le CIJ (Centre d’information du jazz), le CIMT (Centre d’information des musiques traditionnelles et du monde), le CIR (Centre d’information rock, chanson, hip-hop, musiques électroniques).
L’irma est un centre ouvert à tous les acteurs des musiques actuelles pour leur information, leur orientation, leur conseil ou leur formation. L’irma est l’interface entre toutes les composantes du monde de la musique, le lieu d’échange et de structuration du secteur, via notamment : Un réseau de 67 correspondants français et de correspondants européens, Une base de données constamment réactualisée de près de 50.000 contacts et pour la partie française, disponible en ligne sur ce site (« Répertoire »). Une librairie spécialisée de plusieurs centaines d’ouvrages liés au secteur (législation, technique, politiques et management culturels, musicologie,…), ouverte tous les jours de 10h à 13h et de 14h à 18h.
En matière d’information, l’activité de l’irma se concrétise prioritairement autour des publications et des formations :
L’irma conçoit, réalise et commercialise l’Officiel de la Musique ainsi que de nombreux annuaires, guides professionnels ou thématiques (L’Officiel de la Radio, Euro Jazz Book, Planètes Musiques, Profession Artiste, Profession Manager, Les Contrats de la Musique, etc.), soit une vingtaine d’ouvrages disponibles au catalogue. Plus de 750 stagiaires accueillis en formation professionnelle chaque année. »

[5] « Mission de Trempôle : co-missionement du ministère de la culture et de la région des Pays de la Loire pour développer les musiques actuelles sur ce territoire.
Principales actions :

- Structuration du territoire (mise ne place et aniamtion de commission paritaires en départements et en région).

- Information ressources : mise en place d’un réseau en pays de la loire et des outils s’y référents.

- accompagnement des collectivités et acteurs (conseil,étude, audit,…)

- observation du secteur… »

[6] « Créé à l’issue d’une réflexion menée par l’État, la Région et les acteurs culturels, le Pôle régional des musiques actuelles de Haute-Normandie s’inscrit dans une logique de développement et de professionnalisation du secteur des musiques actuelles (rock et dérivés -hip hop, metal, musiques électroniques, reggae, etc.-, jazz, chanson et musiques traditionnelles). Il intervient à travers différentes missions d’accompagnement des politiques des collectivités publiques, de valorisation et de mise en réseau des ressources régionales, d’information vivante et spécialisée, de formation et d’actions de sensibilisation, de conseil et d’orientation, de soutien à la création. »

[7] « Christophe Brault est actuellement responsable du rayon rock et electro au magasin Rennes Musique. Il fut discothécaire à Radio France Armorique puis animateur radio pendant de nombreuses années dans différentes radio locales. Il anime des conférences autour des musiques actuelles, il est en particulier chargé d’enseignement à l’Université Rennes II sur ‘L’histoire de la musique électronique à travers le XXè siècle’. Il est également l’auteur du livre ‘Dix ans de rock rennais 78-88’ publié en 1988. »

[8] – Biographie d’Emmanuel Parent : « Après un DEA sur Walter Benjamin à l’université de Rennes 2, Emmanuel Parent poursuit actuellement ses travaux de recherche en doctorat à l’EHESS-Paris, dans le département d’anthropologie du jazz. Il enseigne dans l’option « Musique et Philosophie » du département de philosophie de l’université de Nantes et s’occupe de la revue semestrielle Copyright Volume ! autour des musiques populaires. »

- Biographie Éditions Mélanie Séteun
« Fondées au cours de l’année 1998 par Samuel Etienne (épaulé l’année suivante par Gérôme Guibert), les éditions Mélanie Séteun ont pour objet l’aide à la publication et à la diffusion de travaux universitaires en Lettres et Sciences humaines. (…)
Les années 2001-2002 ont été consacrées au lancement de la revue Copyright Volume !, seule revue universitaire française actuellement dédiée aux musiques populaires. (…)
En mai 2004, Mélanie Séteun et Disco-Babel se sont associées pour éditer une nouvelle revue, Minimum Rock’n’roll, consacrée à la culture rock (en dehors du champ musical). (…)
Par ailleurs, l’association Mélanie Séteun organise depuis le premier semestre 2004 une tournée de conférences regroupant de jeunes chercheurs ayant contribué à la revue Copyright volume ! Pour la première fois, et à l’image des groupes de rock, c’est un collectif de chercheurs qui tourne. »
Informations disponibles sur le site : [http://www.seteun.net/->http://www.seteun.net/

[9] « Sous des dehors austères (pas une seule iconographie ou pochette de disque !), ce guide des albums de 1964 à 2004 révèle une sélection tout à fait captivante. Plutôt que de nous présenter une énième sélection des meilleurs albums de ces quarante dernières années, Christophe Brault (…) propose un listing des disques qui ont fait avancer la musique. »

[10] « En fait, l’aventure a commencé au début des années 70, avec la création du groupe folklorique « Tap Dou Païe ». Pour se différencier des autres associations de la région, nous avons eu l’idée de collecter, par nous-mêmes, chants, musiques, danses et costumes auprès des anciens du Marais-Breton vendéen. (…)
Au fil du temps, le volume de nos informations collectées est devenu plus important. A ce jour sont consultables : 5 960 extraits musicaux sonores, 11 500 extraits parlés sonores, 40 594 images fixes, 59 rushes de films, 78 fiches sonores de parler vernaculaire (premiers essais). A moyen terme seront disponibles 600 000 informations parlées, 30 000 chansons de tradition orale, 800 airs de musique traditionnelle, 25 000 expressions vernaculaires… A noter, pour mieux identifier chaque pièce, une bibliothèque relative à la littérature orale qui regroupe 443 ouvrages, datant de 1714 à nos jours. »
Informations disponibles sur le site
[http://arexcpo.envendee.free.fr/->http://arexcpo.envendee.free.fr/

[11] L’association Dastum -en breton « recueillir, rassembler »- a été créée en 1972 dans le but de collecter et mettre en valeur le patrimoine culturel de Bretagne, avec un accent particulier placé sur les traditions orales et la musique traditionnelle. Aujourd’hui, tout le monde, du musicien à l’ethnologue en passant par le particulier, peut trouver à Dastum les paroles d’une chanson, se promener dans une noce du début du siècle, écouter une veillée d’il y a trente ans, etc… »
Une médiathèque accessible à tous
La phonothèque : 30000 documents enregistrés (collectes, événements, émissions de radio … ) La photothèque : 25000 documents iconographiques (cartes postales, photos de famille, noces, fêtes locales, patrimoine architecture…) La discothèque : En 1000 disques et cassettes, la production bretonne des origines du disque à nos jours. La bibliothèque : 1500 volumes et 55 000 coupures de presse, 30 000 chansons et contes.  »
Informations disponibles sur le site : [http://www.dastum.net/->http://www.dastum.net/